Le vin a toujours été chargé d’une valeur emblématique, synonyme de convivialité et d’art de vivre. Ce breuvage est également un principe fondamental dans la symbolique chrétienne (Eucharistie). Aujourd’hui, quel rapport les Français entretiennent-ils avec le vin? 85 % trouvent dans le divin nectar une composante de notre art de vivre. Ils sont 89 % à en déguster entre amis et 85 % lors d’une occasion spéciale. Le vin ! Le Français l’apprécie, en parle et surtout apprend à le connaître. Eh oui ! Le vin est un de nos sujets favoris !

Pourquoi buvons-nous le vin frais ?

L’usage de refroidir le vin est très ancien. Des célèbres « mignons d’Henri III », de fidèles spadassins, l’image de magnifiques éphèbes froufroutants, enrubannés, et parfumés demeure. C’est aussi ce roi de France au XVIe siècle, qui a introduit à sa table l’usage de boire frais le vin, avec de la glace mêlée. Plus tard, dès le début des années 1920, le frère Pierre déclarait : « Pour trouver dans le Vin de Champagne tout le mérite qu’il peut avoir, il faut le sortir de la cave un demi-quart d’heure seulement avant de le boire, le mettre dans un seau avec deux ou trois livres de glace ».

Si l’eau se boit, le vin, lui, se déguste.

Pourquoi boire le vin à une température entre 6 et 8 degrés ?

Tout d’abord, évitez les températures très basses, au-dessous de 6°, car vos papilles seraient littéralement anesthésiées. En été, beaucoup servent du blanc ou du rosé trop froid et en altèrent donc le goût !!! Un vin blanc sec peut paraître trop acide à 18° alors qu’à 10°, l’acidité n’est plus qu’une fraîcheur agréable.

Quant au vin pétillant, il doit être consommé frais, mais juste ce qu’il faut. En effet, le gaz carbonique a tendance à se libérer quand la température s’élève. Le champagne, les vins mousseux sont versés très froids dans les flûtes pour limiter le dégagement du gaz ; c’est seulement ainsi qu’ils sont agréables. Et puis, si le champagne s’avère tiède, la mousse devient trop abondante et source de difficultés à l’ouverture de la bouteille.

Le champagne doit être servi entre 6 et 9°. Compte tenu de son réchauffement dans le verre, il doit être bu dans de bonnes conditions entre 8 et 13°. Selon Émile Peynaud, en effet, dans une salle à 21°, quand on le verse, le champagne se réchauffe instantanément dans le verre de 2 à 3°, et ensuite d’environ 1° toutes les trois minutes et à partir de 10°, d’environ 1° toutes les six minutes.

Voici des recommandations tirées du site maison-champagne.com. Le choix du seau à champagne est primordial. Celui-ci doit conserver le breuvage frais. On pourra servir à 10, 12° les champagnes corsés, les rosés, les millésimés, les vieux champagnes dont l’acidité a évolué, si on veut développer leur bouquet ; mais on perdra beaucoup de leur caractère champagne. D’autres sommeliers estiment qu’il faut servir entre 4 et 6° les champagnes secs et demi secs. De fait la saveur sucrée s’estompe dans les basses températures.

Vin et art de la table

Vos convives devront déguster les vins blancs et secs avant les vins rouges, les vins légers avant les vins corsés, les vins frais avant les vins chambrés.

Pour conserver votre vin ou champage sans eau ni glaçons, sans humidité pendant 6 heures, nous vous conseillons le seau à champagne Sofresh. Même lorsqu’il fait plus de 21 degrés, il conserve une température constante entre 3° et 8°. Votre vin ou champagne en sera sublimé.

Aujourd’hui, le seau à champagne Sofresh est ce qu’il vous faut. Il est composé d’un matériau isotherme 100% naturel et recyclable, le liège. Un esprit de perfection transcendé par l’innovation. Il ne vous reste plus qu’à l’essayer !